mercredi 20 août 2008

Porte d'entrée



Avec cette huile (2003), mon travail avait attrapé une sorte de beauté. Lors de l'exposition qui suivit, je vis mes peintures partir dans une sorte de courant d'air, sans pouvoir parler, réagir aux évènements. Je ne trouvais pas de sens à cela. Aujourd'hui, je vois différemment.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

force de la terre qui frémit