jeudi 21 août 2008

Je n'arrive pas à faire "couler" les notes ici. Il me semble qu'il y faudrait plus d'explications, un temps d'écriture où l'élan, le souffle me manque.
Je repars donc à l'ancien blog :
http://tag-heure.blogspot.com

Renaissance au hasard

Comme dit

mercredi 20 août 2008

Porte d'entrée



Avec cette huile (2003), mon travail avait attrapé une sorte de beauté. Lors de l'exposition qui suivit, je vis mes peintures partir dans une sorte de courant d'air, sans pouvoir parler, réagir aux évènements. Je ne trouvais pas de sens à cela. Aujourd'hui, je vois différemment.

Joyau d'ambre



J'espère qu'elle restera longtemps, perle des bois.

Réseaux chimériques

mardi 19 août 2008

Image de la blogosphère



Dans le réseau, l'univers des voyageurs de la blogosphère continue sa métamorphose ectoplasmique. Ici, une photographie au décrypto-sensitif en a figé une forme le vendredi 3 mars 2006. La présence d'un horizon dans l'arrière plan est un événement qu'il fallait mentionner.

Si nous pouvons trouer le schisme parabolique, nous devrions pouvoir octo-décélérer la poly-signature magnétique et trans-trouer le cyclo-réseau oblatif !
Le Corvophraseur (gabarit 1 : Si nous pouvons [v] [n] [a], nous devrions pouvoir [v] [n] [a] et [v] [n][a] ! )

lundi 18 août 2008

Net

Interlude. Parce que faire est une dimension présente.
Parce que j'aime bien cette histoire: "Il est un peuple de Terre qui envoie parfois des messagers. Ceux-ci peuvent courir sur des distances dépassant souvent les 100 Km. S'ils s'arrêtent parfois, c'est pour, disent-ils, laisser à leur âme le temps de les rattraper."

En ce moment, je retourne parfois sur d''anciens travaux. C'est limité à ce qui est numérique, numérisé. Quand c'est encore lisible...

J'ai retrouvé une expoblog. C'était un texte illustré, suivi de 3 séries d'images en verticalité. La seule que j'ai retrouvé n'était même pas exposée. Elle s'appelle [Ecoute].



{C'est ici une expo sur le regard, l'émerveillement. Le corps de l'autre, le temps, la mémoire, le rapport à l'image, la possession des choses, un jeu de formes.
Où il découvre que tout est illusion. "Il" étant un acteur strictement inconnu.

Aimer sans le corps de l'autre. Aimer ce vide charnel de l'écran et se faire frôler l'oeil de lettres et d'images, s'aveugler alors qu'une caresse prend le poids du monde. []Pull rouge.
Voir l'autre dans son miroir[]Miroir
Voyeur de ses intentions[]Voyeur
Comme un murmure qui se fait attendre.[]Murmure
En connexion de masque[]Masque
Au poids de la couleur[]poids du jaune

L'œil rouge de l'espoir qui se blesse[]œil rouge
S'en est retourné ivre aux vieilles chimères[]spectaculaire
Parfois surpris de s'y retrouver[]toon

Bien sûr, il y avait à boire et à manger[]boire
Je crois que le principal était fait[]habiller l info

- Dans la série des noirs, une sorte de vérité graphique, une justesse de précision comme un jugement.
- Les symétries sont des sortes de monstres, des penchants à faire croire aux formes, à condition peut-être d'y mettre le temps du silence, d'une respiration bloquée.
- Série couleur-lumière, jouet tous âges, même si la répétition rend difficile de reconsidérer chaque image comme jamais vue, il y aurait une esthétique du leurre.
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}

dimanche 17 août 2008